Comme de longs échos qui de loin se confondent Dans une ténébreuse et profonde unité, Vaste comme la nuit et comme la … La nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers. Document complémentaire. Baudelaire, Les Fleurs du Mal (1857) « Correspondances » : un art poétique idéaliste. La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers. - Une citation de Charles Baudelaire. La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers. La Nature est un temple où de vivants piliers. Comme de longs échos qui de loin se confondent Dans une ténébreuse et profonde unité, Vaste comme la nuit et comme la … La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers. La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers. Comme de longs échos qui de loin se confondent Dans une ténébreuse et profonde unité, Vaste comme la nuit et comme la clarté, Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. Les Fleurs du mal (1861), Charles Baudelaire [] CORRESPONDANCES [] La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L’homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l’observent avec des regards familiers. « MAITRISE DE LA LANGUE ET CULTURE », 2008 Ou « Maîtrise de la langue est culture » « La Nature est un temple où de vivants piliers / Laissent parfois sortir de confuses paroles ; […] Comme de longs échos qui de loin se confondent / Dans une ténébreuse et profonde unité, […] » [Nous soulignons]. Comme de longs échos qui de loin se confondent Dans une ténébreuse et profonde unité, Vaste comme la nuit et comme la … La nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers. CORRESPONDANCES (Charles Baudelaire) La Nature\ est un tem//ple où de vivants piliers. La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des … CORRESPONDANCES (Charles Baudelaire) La Nature\ est un tem//ple où de vivants\ piliers. Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Correspondances ». La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers. ... La Nature est un tem//ple où de vivants piliers. La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers.
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